Abstract
Le 11 novembre 1920, le préfet du département du Nord transmet aux maires les instructions ministérielles relatives à l’organisation de la première commémoration de l’armistice de 1918. À la même date, la célébration du cinquantenaire de la proclamation de la République française, le 4 septembre 1870, est requise. Ce choix relègue la célébration religieuse du 2 novembre, le jour des morts, dans la sphère privée. Cependant, dans un tiers des communes du Nord, cette journée est marquée par une dimension religieuse, avec des bénédictions, des messes ou la présence du clergé. Cela est une illustration de la persistance d’une forme d’union sacrée.
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